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Balancelle de Mme Sébastien : un trésor de bienfaits.

L’un des objectifs majeurs de cet ouvrage est de contribuer, par l’information et la pédagogie, à populariser largement l’emploi de la Balancelle, car nous sommes convaincus de ses extraordinaires bienfaits et de sa polyvalence pour tous.

Son emploi n’exclut pas, bien entendu, la pratique régulière d’un sport, d’une gymnastique classique ou douce[1], d’un art corporel esthétique (danse), martial (aïkido, shin-taï-do, …), ou simplement hygiénique ou ludique.
Ne pas oublier non plus le bon sens de l’Hébertisme[2] traditionnel et ses « dix familles » : la marche, la course, le saut, la quadrupédie, le grimper, l’équilibre, le lancer, le porter (ou lever), la lutte et la natation.). Riche de bon sens, l’enseignement de Georges Hébert correspond à ce que toute personne tend à pratiquer spontanément en vacance ou le week-end dans la nature, avec ses enfants ou son chien par exemple…

Description et fonctionnement de l’appareil

Première approche :

La balancelle se présente tel un fauteuil-relax très confortable.

Allongé, chacun y retrouve l’équilibre de ses courbures physiologiques vertébrales et peut à loisir s’y reposer passivement, écouter de la musique, voire effectuer quelque exercices respiratoires.

Il est même possible d’y dormir deux ou trois heures de suite, d’un sommeil étonnamment réparateur.

Le « plus » du système est que la balancelle est animée, grâce à une motorisation électrique silencieuse, d’un mouvement de lente bascule amenant tantôt la tête vers le bas et les membres inférieurs vers le haut, tantôt les membres inférieurs vers le bas et la tête vers le haut.

Le rythme et l’inclinaison très spécifiques et automatisés de la nouvelle Balancelle sont assurément les clés de son efficacité.

Très étudiés, ces paramètres sont ajustés afin d’accompagner le rythme naturel des contractions des artérioles pré-capillaires ainsi que la vidange passive de nos veines. Mieux encore, ils sollicitent d’une façon réflexe la rééducation fonctionnelle de nos vaisseaux, ceux-ci devant d’adapter aux variations de l’attraction terrestre.

L’amélioration de la circulation générale bénéficiant à toutes les cellules, elle est donc à court terme favorable à tous les systèmes et appareils, à tous les métabolismes et à toutes les fonctions.

Trop simple pour être vrai ?

 

Pour qui ? Pour quoi ?

Plus avant dans la compréhension du processus :

Lorsque nous observons nos mains, en position immobile, debout, bras le long du corps depuis quelques minutes, elles apparaissent plutôt dilatées, colorées, et le dos de la main est parcouru de veines bleutées, en relief.

Si nous levons un bras à la verticale pendant 10 secondes, puis observons à nouveau la main levée : elle est devenue plus fine (surtout si elle avait tendance à souffrir d’un  léger œdème), plus pâle, et les vaisseaux bleus semblent avoir disparu.

Que s’est-il passé ?

Les artérioles (vaisseaux situés entre les artères et les capillaires artériels) se sont contractées au moins une fois et, en parallèle, les veines se sont vidées plus à fond, sous la simple action de la pesanteur.

Ce phénomène très simple, physiologique et ponctuel peut en fait se réactiver d’une façon réflexe, telle une rééducation fonctionnelle progressive, par l’utilisation de la balancelle, et devenir ainsi aussi performant qu’il l’était chez nos ancêtres ignorant tout de la sédentarité chronique, des aliments « qui encrassent le sang »[3] et du chauffage collectif !

En d’autres termes très simples, les inclinaisons rythmées de la balancelle obligent la musculature inconsciente de notre système cardiovasculaire à se contracter puis à se relâcher favorablement.

Comme le répétait en souriant Madame Sébastien :

« Je n’ai rien inventé mais j’applique méthodiquement ce qu’avaient découvert Newton (la pesanteur) et Pavlov (les réflexes conditionnés) … ! ».

S’il est facile d’impliquer la passivité[4] de l’occidental moyen comme facteur de dégradation de son système cardiovasculaire, ce n’est pas seulement par le fait qu’elle le prive insidieusement de toute accélération cardiaque, qu’elle favorise la stagnation du sang veineux et de la lymphe, l’agrégation des plaquettes et les dépôts lipidiques, etc. La sédentarité induit aussi peu à peu l’hypofonctionnement des différents « cœurs » qui sont autant de relais de suppléance à la pompe cardiaque.

Or, ces « cœurs périphériques » (véritables « pompes et écluses ») présentés succinctement plus haut[5] réagissent d’autant plus efficacement qu’ils sont sollicités dans des positions différentes vis à vis du sol ! Encore une fois, le rythme, (l’alternance) prouve qu’il reflète une grande loi de la biologie.[6]

Chaque changement postural induit en effet une adaptation réflexe qui mobilise efficacement les muscles des artérioles pré-capillaires, les valvules des veines et des lymphatiques, la contraction des muscles, et bien entendu les incontournables pompes diaphragmatique et cardiaque[7].

 

Quant au cœur à proprement parler, il bénéficie très vite de la méthode.

Alors que dans la gymnastique ou la plupart des sports le cœur accélère et travaille, le plus souvent, au bénéfice des bras ou des jambes, on ne note pas d’accélération du rythme cardiaque sur la Balancelle, mais le muscle cardiaque se fortifie progressivement en augmentant son amplitude pulsatile à chaque étape jambes levées, devant gérer un plus grand afflux de sang à propulser, rythmiquement, vers les poumons. Il travaille ainsi « pour lui-même » et très favorablement au bénéfice de ses coronaires.

La formule sanguine tend à se normaliser avec l’emploi de la balancelle, et il n’est pas rare d’observer vitesse de sédimentation et taux de cholestérol ou d’acide urique baisser.[8]

Enfin, l’emploi de la Balancelle stimule à chaque changement de bascule les centres nerveux régulateurs de la pression artérielle et de l’irrigation crânienne, situés dans les carotides et au niveau de la crosse de l’aorte.

 

Bien employés, les balancements rythmés stimulent et rééduquent en quelques semaines les barorécepteurs (corpuscules des sinus carotidiens et aortiques) qui ont pour fonction de normaliser la pression artérielle[9] et les flux et reflux sanguins au cerveau.

 

 

Notons qu’il y a intercommunication entre les centres nerveux de l’aorte et les centres intracardiaques et que les sinus et corpuscules carotidiens communiquant avec les centres aortiques ainsi qu’avec les nerfs intracrâniens.

Or, les barorécepteurs sont extrêmement sensibles à l’étirement. Il en existe dans les carotides,, les parois du cœur, à l’embouchure des veines caves supérieures et inférieures, à celles des veines pulmonaires, dans la circulation pulmonaire, … et ils régulent d’une façon réflexe les différents jeux de pression artérielle, via notamment des nerfs tampons, modulant l’action générale de l’ortho et du para sympathique.

 

En termes plus simples, les balancements induisent, par les micro-étirements qu’ils produisent sur les barorécepteurs, des réponses réflexes qui ajustent et rééduquent physiologiquement les régulateurs nerveux responsables des différentes pressions et fréquence de la circulation sanguine (cardiaque, artérielle, intracrânienne, pulmonaire, …

 

Les poumons sont également fortifiés et irrigués.

Recevant plus de sang à chaque bascule arrière, les échanges gazeux sont optimisés, profitant à tout le métabolisme cellulaire.

De plus, sur la balancelle, il est habituel d’observer nombre de respirations bien plus amples qu’à l’accoutumée, ce qui témoigne d’une franche libération du muscle diaphragmatique tout autant que des insertions sterno-costales et chondro-costales (attaches antérieures et postérieures des côtes). Le centre phrénique et le plexus solaire (innervations principales du diaphragme) sont en quelque sorte massés et stimulés, normalisant de même coup les fonctions émotionnelles intimement liées à ces structures épigastriques (creux de l’estomac).

 

« Mouvement respiratoire primaire » et régénération globale.

Dès les premières minutes sur la balancelle, il n’est pas rare d’observer nombre de soupirs et / ou bâillement. Comment expliquer que de plus, de très nombreux utilisateurs témoignent d’une certaine euphorie après la séance, « comme après une séance d’ostéopathie crânienne » ou « comme après une séance de relaxation », pour les citer ?

J’ai pu souvent observer personnellement qu’une séance de balancelle pouvait souvent ré-harmoniser le M.R.P. (Mouvement Respiratoire Primaire) sur lequel travaillent les ostéopathes, fasciathérapeutes et chiropracteurs.

Ce mouvement est en fait une subtile fluctuation du L.C.R. (Liquide Céphalo-Rachidien) baignant l’encéphale, les ventricules cérébraux et présent tout au long du canal rachidien (moelle épinière).

On a pu l’objectiver sur de nombreux animaux ou hommes trépanés ainsi que par de micro mesures s’appliquant à enregistrer la mobilité des os du crâne : Evoquant le sac et le ressac des vagues en bord de mer, le M.R.P. peut être considéré comme le premier et l’ultime témoin de la vie car il est perceptible dès l’existence fœtale intra-utérine et il perdure même un peu près la mort clinique !

Son rythme n’est  que de 9 à 12 pulsations par minute.

 

Constant et non affecté par l’exercice ou le stress, le M.R.P. est par contre inhibé notamment par :

  • de nombreux traumatismes souvent banalisés (« coup du lapin » en automobile, petite chute sur le sacrum ou sur les talons, forceps, …)
  • des troubles posturaux (travail prolongé sur écran, position debout en déhanchement, hauts talons, longs voyages en voiture …
  • des tensions musculaires accumulées avec le temps et le stress (raideurs de la nuque, des muscles postérieurs des jambes, cambrure excessive des lombaires …)
  • des inflammations chroniques viscérales se répercutant sur des structures de soutien très sensibles, les fascias (colite chronique, cystites, ovarites, spasmes diaphragmatiques émotionnels, …)

 

Habituellement, peu d’occasions conscientes s’offrent à nous de relancer le M.R.P., exception faite entre les mains d’un bon thérapeute manuel.

Toutefois, il arrive que le M.R.P. se retrouve en phase (syntonie) avec la respiration pulmonaire[10] : c’est le cas des périodes privilégiées de sommeil profond, de méditation ou de relaxation profonde, ainsi que du temps de récupération post-orgasmique (une fois le rythme respiratoire décéléré bien entendu !).

 

Les soupirs et bâillements libérés sur la balancelle[11], accompagnés d’un taux plus élevé d’endorphines[12] témoignent effectivement de cette synchronisation des deux respirations (primaire et pulmonaire), périodes assurément privilégiées de bien-être, de récupération et d’harmonisation corps-esprit.

 

Les reins bénéficient du balancement rythmé.

Plus irrigués que le cerveau et que le cœur (!) les reins et les glandes surrénales qui les coiffent sont particulièrement concernés par la balancelle.

Près d’un quart du sang venant directement du cœur est filtré par les reins.

Au repos, 1.200 litres de sang sont ainsi filtrés chaque minute par les reins.

Il est évident qu’activée par la stimulation réflexe des artérioles pré-capillaires, ce volume soit très largement augmenté, au point que des malades sous dialyse ont pu semble-t-il diminuer la fréquence de leurs séances[13].

L’impact sur les glandes surrénale ne peut que bénéficier aux individus stressés, aux taux d’adrénaline et de cortisol fluctuants ou insuffisants.

 

Le crâne, l’encéphale et les organes de la face puissamment régénérés.

C’est probablement l’un des bénéfices les plus précieux apportés par le balancement rythmé, puisque s’y associent toutes les fonctions neurologiques centrales (sensitives et motrices), neurovégétatives (involontaires : ortho et parasympathique) et neuropsychiques (fonctions mnésiques et cognitives, concentration, …).

Nul hasard si les postures inversées du yoga (chandelle, poirier) sont en Orient traditionnellement considérées comme royales c’est à dire favorables à la jeunesse cérébrale et aux fonctions supérieures de la conscience …

 

Notre cerveau est le plus gros consommateur d’oxygène de tout le corps et ses millions de cellules (les neurones) sont aussi irrigués par un réseau de capillaires particulièrement fins.

Le système est donc doublement menacé :

  • par le pesanteur (prix de notre verticalité d’humain, car il est moins facile d’irriguer le crâne que l’abdomen !)
  • par les dépôts lipidiques (athérosclérose) et scléreux (artériosclérose).

C’est dire si l’association de la balancelle et du Bol d’Air Jacquier[14] peut être souveraine pour optimiser la quantité et la qualité de l’oxygénation crânienne …

 

Sous oxygénation è sclérose vasculaire è diminution du potentiel cérébral.

Nous verrons au chapitre des précautions d’emploi de la balancelle comment ajuster son usage aux cas d’hypertension artérielle et d’épistaxis (saignements de nez).

Les mécanismes régulateurs cardiovasculaires sont donc doucement sollicités durant les balancements, et de nombreux ajustements de pression artérielle, veineuse et lymphatique sont stimulés.

Le schéma suivant montre les modifications métaboliques observées chez l’homme entre la position couchée et la position debout[15]. Certaines de ces valeurs augmentent de + 25% alors que d’autres s’abaissent de 40%.

Exemples pour une bonne lecture du schéma :

La fréquence cardiaque augmente de + 25% en station debout mais le débit dans l’abdomen et les membres baisse de –25%.

 

 Madame Sébastien répétait à propose de la Balancelle[16] :

« La Balancelle est un article de gymnastique. Construite et employée correctement, c’est la fin de l’athérosclérose, une arme efficace contre l’affaiblissement cardiovasculaire 

« Elle restaure le système circulatoire » et « fortifie le système cardiovasculaire grâce à l’attraction terrestre qui règle notre circulation »

« Ses mouvements facilitent le retours du sang veineux vers le cœur et le travail des millions d’artérioles pré-capillaires qui sont obligées de se contracter avec plus de force puis de s’ouvrir grâce aux réflexes innés »

« Le rythme cardiaque ne change pas, mais les bonnes relations avec la terre (pesanteur) fortifient toujours la circulation et l’irrigation de tous les organes »

« A mesure que nous avançons en âge, il faut rester plus longtemps sur la balancelle »

« La balancelle est une arme absolue contre l’artériosclérose »

« Elle améliore la distribution des hormones, des vitamines et des enzymes »

« Il faut simplement comprendre que les vaisseaux répondent par l’intermédiaire des valvules, des muscles des artérioles et du muscle cardiaque aux changements de posture du corps par rapport à la terre »

« Notre système cardiovasculaires est aussi sensible à l’attraction terrestre que les yeux à la lumière et les oreilles au son »

« Pour guérir la maladie de Raynaud, il suffit de lever les bras et les baisser toutes les 10 secondes, ceci 20 minutes trois fois par jour. Utiliser la Balancelle fait de même »

 « Les robinets (terme qu’employait Pavlov pour désigner les sphincters des artérioles pré-capillaires) sont des muscles, et le manque d’exercice les affaiblit. La Balancelle les fait travailler par l’attraction terrestre. La grande loi physiologique est l’alternance ! »

« Si vous voulez que le sang afflue (plus) vers la tête, levez les bras à la verticale quand la tête est en postions basse et placez la tête le plus possible du bord supérieur de la Balancelle »

« Pour que le sang afflue (plus) vers les jambes, laissez dépasser légèrement les pieds de la Balancelle »

« La Balancelle fait disparaître les coronarites. Son action nettoie et fortifie tous les vaisseaux, y compris les coronaires (…) ; le cœur va répondre au remplissage et au drainage que produisent les inclinaisons (…) or, si les coronaires se relaxent pendant la diastole et reçoivent le sang de l’aorte, ils subissent aussi la contraction du cœur lors de la systole[17] »

« En ce qui concerne les rhumatismes des personnes âgées, je n’attendais rien de la Balancelle ; pourtant, lorsque je décidais d’en faire trois heures par jour, mes rhumatismes disparurent en six semaines… »

« Il faut vérifier mes dires. Il faut faire des expériences cliniques répétées, sans les saboter dans le but de plaire aux mastodontes[18] qui exploitent les malades »

 

Résumé des bénéfices pour l’utilisateur de la Balancelle.

Voici une liste des principaux troubles pouvant bénéficier des exercices traditionnels de balancement ou des postures inversées[19] :

 

  • Varices, jambes lourdes ++++
  • Œdèmes des membres inférieurs ou supérieurs ++++
  • Hémorroïdes +++
  • Congestions du petit bassin +++
  • Hypertension artérielle (gros oreiller sous la tête les premiers jours et surveillance attentive) ++
  • Troubles de la vue ++++ (dont rétinographies spectaculairement améliorées)
  • Certains acouphènes ++
  • Frilosité des extrémités ++++
  • Troubles de la trophicité tissulaire (Algo-neuro-dystrophie, engelures, crevasses, cicatrisations difficiles, …) ++++
  • Insomnies chroniques +++
  • Gestion du stress ++++
  • Troubles mémoriels et troubles cognitifs ++++
  • Dysendocrinies diverses ++
  • Ostéoporose +++
  • Rachialgies +++
  • Tassements discaux +++
  • Lenteur digestive ++++
  • Paresse intestinale ++++
  • Diabète non insulinodépendant ++
  • Fatigue et fatigabilité ++++
  • etc

 

Une étude de 2011 a confirmé les résultats cliniques liés à la méthode Bates associée à l’utilisation de la Balancelle pour le bénéfice de la santé des yeux[20].

[1] Mézières, Bertherat, Yoga, Taï-chi-chuan, Feldenkraïs, Pilates, Morris, Tullman, … Cf. bibliographie

[2] Traditionnellement pratiqués en plein air, ces disciplines ne possèdent jamais l’esprit narcissique ou compétitif des jeux du stade (athlétisme professionnel) mais toujours le caractère ludique, joyeux et perfectionniste visant l’épanouissement du corps, indissociable du service rendu à autrui. Belle leçon de culture holistique signée Gorges Hébert (1875 / 1957). On doit aussi à Hébert le traditionnel « parcours du combattant », la gymnastique scolaire mixte  et les parcours de santé bien connus sur les aires de repos des autoroutes ou dans les clubs de vacances.

[3] Voir chapitre 7.1 et 7.2. Expression chère aux anciens hygiénistes du 19° siècle.

[4] Pour ce qui concerne les maladies cardiovasculaires, les travaux épidémiologiques tendent aujourd’hui à incriminer bien plus la sédentarité que les mauvaises habitudes alimentaires !

[5] Voir chapitre 4.1.1

[6] L’exercice de la « chandelle dynamique » proposé au chapitre 8.5 s’avère dix à cinquante fois supérieur à sa forme statique habituellement enseignée.

[7] Pour preuve les altérations constatées chez les spationautes privés longtemps de l’attraction et du magnétisme terrestre : atrophie du muscle cardiaque, bradycardie, augmentation du débit urinaire, décalcification osseuse, dégénérescence des disques intervertébraux, déformation et appauvrissement des globules rouges, appauvrissement de la circulation périphérique, …

[8] La balancelle Sébastien p. 35

[9] Ces centres nerveux (carotide et crosse de l’aorte) communiquent entre eux et avec le coeur.

[10] La respiration pulmonaire est habituellement rythmée à raison de 14 à 18 par minute, donc plus rapide que le M.R.P.

[11] Le balancement rythmé permet de neutraliser beaucoup de tensions affectant les fascias et la chaîne musculaire postérieure ; de plus, elle mobilise favorablement de nombreux mouvements viscéraux. Enfin, elle amène naturellement l’occiput et le sacrum en flexion ou extension favorables à la relance du M.R.P.

[12] Protéines opioïdes, euphorisantes et antistress modifiant positivement la perception de la douleur

[13] La balancelle Sébastien, fin de l’artériosclérose, p. 24-25

[14] Cf. bibliographie D.1, D.10 et E.2

[15] Best and Taylor’s Physiological Basis of Medical Practice, Williams & Wilkins, 1973.

[16] Cf. bibliographie C3

[17] Systole = contraction du cœur, diastole = relâchement du cœur.

[18] Dans la bouche de Madame Sébastien : les mandarins de la médecine et de la pharmacie qui lui refusèrent toujours leur aide, ne souhaitant pas cautionner « ce qui nuirait à leurs intérêts » !

[19] La société Belentrin avait expérimenté l’emploi quotidien sur 12 sujets sédentaires souffrant d’insuffisance veineuse, à raison d’une heure par jour. Au bout d’un mois, les résultats montraient une normalisation quasi parfaite, en comparaison avec un groupe témoin.

[20] http://www.artdevoir.asso.fr/Journeemesurere%20fr%20PhBohec%20Bates.pdf